| Accueil | Créer un blog | Accès membres | Tous les blogs | Meetic 3 jours gratuit | Meetic Affinity 3 jours gratuit | Rainbow's Lips | Badoo |
newsletter de vip-blog.com S'inscrireSe désinscrire
http://aa972.vip-blog.com


galsen2h
VIP Board
Blog express
Messages audio
Video Blog
Flux RSS

galsen2h

VIP-Blog de aa972
bodthug@hotmail.com

  • 38 articles publiés dans cette catégorie
  • 40 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 12/05/2006 01:03
    Modifié : 17/05/2009 11:23

    Garçon (23 ans)
    Origine : dakar
    Contact
    Favori
    Faire connaître ce blog
    Newsletter de ce blog

     Juillet  2025 
    Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
    30010203040506
    07080910111213
    14151617181920
    21222324252627
    282930010203
    [ rap français ] [ rap galsen ] [ rap us ] [ rap rim ] [ rap story ]

    CHRONIK2H

    20/06/2006 21:40

    CHRONIK2H


    Tout d'abord, pourriez vous présenter Chronik 2H et raconter comment s'est déroulée cette rencontre entre RoZo et K-Id ?
    Chronik 2H est un groupe qui existe depuis '97. A la base on était trois cités Iso, RoZo et Bess. Après le départ de Iso, on s'est retrouvé à deux et K-Id qui était dans son groupe I-P, nous a rejoint parce que les membres de son groupe s'apprêtaient à s'expatrier aux états-unis et autres... Ainsi on était trois jusqu'en '99 puis en 2000 on s'est retrouvé à deux puisque Bess devait partir aussi aux Etats-Unis. Donc on a continué à deux et jusqu'à présent on aura sorti deux albums. En 2004, on a sorti l'album intitulé "trop de choses à dire" et en 2005 on a voulu confirmer tout le bien que pas mal de gens disaient sur Chronik 2 H et sur le premier album ; on a essayé de le faire sous forme de "Hors-Série".
    Alors moi c'est RoZo et je suis "lyricist" et fondateur de Chronik 2 H. K-Id est "lyricist" aussi et compositeur. En dehors de Chronik 2 H, K-Id a aussi travaillé sur des projets de Nix dans l'album "Black Crystal" comme les titres "Fuck It Up" et "Tout C'ke J'ai". Il a aussi bossé sur le dernier projet de Big-D intitulé "Diam - La Paix" et le dernier album de Yatou "Next Level". K-Id a également bossé sur le dernier album de Duggy tee "Guem" ou il a signé certains titres.

    Vous êtes sur la scène musicale depuis quelque temps, parlez nous de l'évolution de Chronik 2 H depuis les tous premiers pas dans le milieu du Hip Hop.
    On commencé avec le morceau qui s'appelle "Parti de Rien" et c'était en '99 et ça n'a pas était facile parce qu'on avait commencé dans les soirées "underground" de DJ Mataar qu'il organisait à l'Aldo club. Et donc on essayait de s'insérer dans le milieu de la musique, ce qui n'était vraiment pas facile parce que à l'époque le rap français était très mal perçu ici au Sénégal. On essayait donc de s'impliquer dans des compil' ou à des concerts mais les gens ne considéraient pas trop notre type de musique car comme je disais, le rap français n'était pas bien perçu.
    Mais au fil des années on a réussi à profiler ce style avec des textes assez profonds. Par moment et avec l'évolution, on arrivait à mettre un peu d'eau dans votre vin avec des morceaux beaucoup plus commerciaux pour le grand public. Au fur et à mesure, avec les compositions de K-Id, le groupe s'est donc fait une petite place. Au niveau underground, on a aussi essayé de faire des combinaisons avec d'autres artistes et ainsi on a réussi à évoluer jusqu'en 2002 où on a décidé de sortir un album. Alors on s'est mit à écrire puis on a commencé à rentrer en studio la même année. D'un autre côté, chercher un producteur au niveau du Sénégal n'a pas du tout était facile non plus vu qu'il y avait toujours ce même handicap du rap français : on s'est souvent remis en question pour redoubler d'effort afin de sortir notre album.

    Mis à part ce "handicap" du rap quelles autres difficultés avez-vous rencontré durant vos débuts ?
    Alors déjà la première difficulté c'était de se faire entendre et de saisir l'attention du public vu que le rap en wolof est plus côté ici au Sénégal. Ensuite, il y a eu les difficultés financières bien sur pour les frais de studio, ce qui est un problème que rencontre la majorité des "HipHopeurs" ici, donc on s'est battu et avec de nombreux soutiens externes, on a réussi et on s'est auto produit. Enfin, après la sortie de notre premier, on a eu un problème de boycott au niveau des radios mais heureusement certains gens nous ont fait confiance et ont osé mettre nos morceaux dans leurs émissions de HipHop. Et donc voila les principaux obstacles que l'on a rencontré.

    Vous nous avez apporté l'album "Hors-Série", parlez nous de cet album. Son concept, sa mise en œuvre et combien de temps ça vous a pris ?
    Quand on a sorti le premier album en 2004, le problème principal était l'organisation vu qu'en évoluant en auto production on a pas une grosse structure derrière nous. Donc on a fait les choses par nous même et, avec le collectif LZ3 derrière nous, on essayait de tout faire. A un moment, on s'est arrêté en se disant "mais là il y a un problème...", et le problème s'était qu'il devait y avoir une organisation derrière tout ça. Ainsi on a décidé de prendre un manager, et on a signé avec quelqu'un qui travaille à One Prod qui s'appelle Gabin Bao. Une fois que l'on a commencé à travailler avec lui, tout est devenu beaucoup plus professionnel. On se disait aussi qu'il fallait que l'on apporte un nouveau produit entre ses mains pour confirmer le premier album qui avait eu un certain succès mais assez limité. Il s'agissait surtout de ceux qui connaissaient déjà le parcours du groupe, qui nous avaient suivi depuis le début et qui avaient bien apprécié nos premiers produits. Albums
    La question était de savoir comment on all it faire pour organisertout ça. Alors ce que l'on s'est dit c'était de faire beaucoup de nouveaux morceaux et beaucoup plus riches en sonorité, c'est pour ça que l'on a essayé d'apporter des touches africaines dans certains morceaux comme "We Don't Need That" où on fait jouer la kora et dans "Pretty Woman" où on fait jouer les djembés. Aussi notre manager nous a énormément encouragé à aborder des thèmes précieux et fédérateurs au niveau national et international. On a donc choisi de parler des thèmes sur l'unité africaine ou alors la féminité comme dans "Pretty Woman" où on a plutôt présenté ce coté matérialiste qui est l'une des spécificités de nos femmes ici au Sénégal et sûrement un peu partout. On a eu la chance par l'intermédiaire de notre manager de faire un duo avec Jacky des Neg' Marrons pour avoir une porté au niveau international. Et bon c'est vraiment ce dernier élément qui fait la spécialité de ce "Hors-Série" afin d'ouvrir la musique de Chronik 2H sur l'international.

    Votre morceau "Toi ici, Moi Là bas" a touché de nombreuses personnes qui se sont sentis concernées, pourriez vous nous en dire un peu plus sur ce titre ?
    Alors ce morceau c'est du vécu ! A un moment donné, quand on venait de terminer l'enregistrement de 8 titres du premier album, K-Id devait aller en France pour y continuer ses études et beaucoup de gens se demandaient si on allait sortir cet album et moi en premier. Je suis resté ici, je me suis posé beaucoup de questions pendant ces moments de doute et un soir je commençais à projeter et je me suis dit "Tiens ça c'est une situation qui m'interpelle car je suis ici alors que j'aimerais bien rejoindre K-Id là bas en occident pour pouvoir, entre guillemet, avoir la vie de rêve quoi". C'est ce que je me disais au départ mais après quand il m'appelait, il me disait "Écoute mec, ici ce n'est pas facile contrairement à ce que tu crois, j'ai vraiment envie de rentrer et franchement ici c'est la merde surtout en tant qu'étranger. Je ne suis pas français mais plutôt sénégalais et beaucoup de choses m'incitent à rentrer chez moi". Et c'est de là je lui ai proposé d'écrire sur ce thème "Toi ici, Moi Là bas" et c'est parti ainsi, d'ailleurs c'est une situation que pas mal de gens vivent.

    Vous nous parliez plutôt des nombreuses compilations auxquelles vous avez participé. Comment se sont déroulées ces collaborations ? Comment avez-vous fait le choix des "featurings" ?
    Dans le premier album "Trop de chose à dire" déjà ça c'est passé au feeling : il y a eu un featuring avec Styles qui fait parti du LZ3, un gars qu'on connaît depuis bien longtemps et qui a énormément de talent. Il y a eu aussi Sista Diarra, une française qui vit à Paris et qui évolue dans une chorale de Gospel avec son groupe et qu'on a connu à travers le festival Unissons qui s'est passé ici à Dakar. Dès qu'on s'est rencontré il y a eu la connexion, on est rentré en studio et on s'est dit pourquoi ne pas faire un morceau avec Sista Diarra donc on a fait le titre "Sans Frontière Ni Couleurs" où on parle de l'amitié.
    Il y a eu aussi un featuring avec Duggy Tee du Positive Black Soul. L'histoire c'est que K-Id fait souvent la navette entre Montpellier et Dakar et il est monté sur Paris où il a rencontré quelqu'un qui bossait avec Duggy Tee ; quand il est revenu sur Dakar, il m'a dit "faut qu'on essaie de rencontrer Duggy Tee...". Je lui disais "Duggy Tee on ne l'entend plus, on ne sait même pas s'il est toujours dans le mouvement..." Alors on a décidé de se rendre du coté de Liberté 6 afin de le rencontrer et de lui parler de notre projet, celà s'est fait tranquillement et sans problème et ainsi on a fait un titre avec lui.
    Jacky des Neg' Marrons était venu sur dakar en Juin pour le festival Afrika Keur et comme il était déjà venu pour un concert de Neg' Marron en décembre 2004, il avait eu à rencontrer notre manager Gabin Bao à travers les relations et quand il est revenu pour ce festival, ils se sont revus et Gabin lui a dit "je m'occupe d'un groupe qui prépare un album, ce sont de jeunes promoteurs qui éventuellement pourraient évoluer au niveau international..." et c'est ainsi qu'il a réussit à interpeller Jacky sur ce projet. Moi personnellement j'ai rencontré Jacky en studio alors qu'on lui faisait écouter le beat pour le titre "Le Signal". Il devait rentrer le surlendemain sur Paris donc on a fait le morceau en 2 jours. Donc en gros voilà comment les featurings se sont passés.

    Lorsque vous avez débuté votre carrière musicale, vous avez choisi de vous appelez Chronik2H. Expliquez la signification, l'origine et le "pourquoi" de ce nom ?
    Nous ce que l'on voulait au départ avec Iso et Bess, c'était avoir une identité propre. C'est-à-dire à travers le HipHop, donner notre vision du monde dans lequel nous vivions et celà que ce soit ici au Sénégal ou au niveau international. On voulait donner une vision du HipHop à travers de jeunes africains. Donc on est une chronique du HipHop d'où les 2 H qui veulent dire Hip Hop et Chronik pour la description des évènements selon l'ordre chronologique des faits. Donc c'est comme ça qu'on a combiné les deux et ainsi on a décidé de s'appeler Chronik 2H.

    En oubliant les dures réalités du quotidien, quel serait votre plus beau rêve musical ?
    Déjà ce serait d'avoir un plus de reconnaissance dans notre pays le Sénégal parce que c'est ici que nous évoluons. Ensuite au niveau international, avoir des opportunités que ce soit en Europe, aux Etats-Unis ou Canada, mais surtout dans la partie francophone car comme on connaît la philosophie du marché américain, "s'ils ne comprennent pas ils ne prennent pas !" (rires)

    En ce qui concerne vos projets, vous comptez continuer ensemble on espère ?
    Oui bien sur, il n'y a aucun souci pour ça. On a fait une longue route avant de sortir ces deux albums et si tout se passe bien on a même l'intention de s'investir ensemble pour créer notre propre label panafricain qui va donner la chance a ceux qui n'ont pas eu les même opportunités que nous avons eu. On a eu la chance d'avoir beaucoup de soutien comme celui de nos parents et tout donc on n'était pas totalement démunis. On a nos connaissances et nos études donc cette chance nous a beaucoup aidé. Je trouve qu'il y a énormément de talents au niveau africain et j'espère que l'on pourra donner la chance aux jeunes comme nous pour pouvoir évoluer. Ensuite, étendre nos activités pas seulement dans la musique mais par exemple dans le Street Wear car c'est un projet que l'on veut mettre en place depuis un moment et on a pas encore eu l'opportunité de développer cette branche pour le moment. Et bon comme on dit "Sky's the limit" donc on ne sait pas mais on verra bien jusqu'où on ira.
    Que pensez vous du mouvement HipHop local ? Quel est son avenir ?
    Je vais parler honnêtement en ce qui concerne le Sénégal parce que c'est ce que je connais le mieux. Alors au Sénégal il y a beaucoup de talents mais malheureusement il n'y a pas assez de structures, il y a des problèmes au niveau de la communication, du financement et ceux qui ont compris que la musique allait avec le business ne sont pas nombreux ici. D'ailleurs je ne peux citer que deux groupes qui sortent la tête de l'eau et c'est PBS radikal à travers Awadi ou alors Daara J. Donc il y a des problèmes de structure, de financement, d'organisation et de communication. Et je pense que tant que ces éléments ne seront pas inclus au sein du HipHop sénégalais, il y aura une marge d'évolution très faible. Malgré le nombre important de talents qui existe ici, les choses vont évoluer très lentement si nous n'arrivons pas à incorporer ces éléments dans la musique. L'avenir du HipHop africain et sénégalais dépend énormément de ça.

    Votre dernier album "Hors-Série" a été nominé au HipHop Awards ce Décembre 2005. Quelles sont vos impressions à ce sujet ?
    Ca fait énormément plaisir et c'est un très bon début de reconnaissance. Si on est nominé aux HipHop Awards qui représentent un élément fort du HipHop sénégalais et de la vie culturelle au Sénégal, celà veut dire que l'on ne passe pas inaperçu. On verra bien le 4 Décembre car ça se passe à travers un jury d'animateurs radio et de DJ's.

    Racontez nous les meilleurs souvenirs de Chronik 2H.
    Les meilleurs souvenirs remontent au début de l'aventure quand on était insouciant et qu'on avait la haine. Aussi, l'enregistrement du premier album s'est déroulé dans une ambiance incroyable. On ne réalisait même pas que l'on était entrain d'enregistrer l'album mais à un moment on s'est ressaisi et on a décider d'y mettre beaucoup de sérieux. Sinon voilà en gros c'est ça, dans mon souvenir, le départ c'était vraiment bien.

    Parles nous de Chronik 2H en dehors de la scène ?
    Moi Rozo j'ai 27 ans et j'ai fini mes études avec Bac + 4 en Gestion Compta mais je me donne à fond dans mon HipHop. Je vis ici à Dakar, toute ma famille est en France seulement ma grand-mère est ici avec moi.
    K-Id a fait des études en audio-visuelle du côté de Montpellier et depuis qu'il a fini il est ici avec sa famille à Dakar. C'est le benjamin de sa famille, il a 22 ans et il est à fond dans le HipHop aussi. Il construit aussi beaucoup de sites internet pour de nombreux artistes ici comme celui de Duggy Tee et bien d'autres.

    Un Mot :
    Vive le HipHop sénégalais et le HipHop africain !
    Pour les sénégalais qui liront cette interview, je leur demanderai de ne pas pirater et plutôt d'acheter les albums car c'est un minimum pour l'artiste et le mouvement. Si tu kiffes le morceau, va acheter l'album car 1000 franc c'est rien. Un CD a 5000 franc, car tout le monde met facilement cette somme pour aller au Dolce ou à La Tanière. Ca coûte rien de le faire et c'est pour supporter le mouvement. Je sais qu'il y en a qui le font mais il reste énormément à faire à ce niveau. Donc supporter le mouvement à votre manière en allant aux concerts tout en restant discipliné. Sinon One Love - Big Up à tout le public du HipHop car le combat continue.


    Commentaire de DJ Emiliot (20/08/2006 19:03) :

    bien ton blog bonne continuation


    Commentaire de 2H (20/09/2006 11:52) :

    ONE LOVE MAN ! RESPECT 4 ALL THAT YOU DOIN'


    Commentaire de Magnum-4 .skyblog.com (05/10/2006 00:38) :

    High est le niveau!! C2h peace brodas!!!!





    LAS MC

    20/06/2006 21:37

    LAS MC


    The great Las MC is one of Dakar's most beloved and revered MCs. Las grew up in the Suburb of Parcels next to Dakar. With his thundering voice he was aptly nicknamed "Mr. L'Elephnat" because of the similarity of his voice to the African elephant...


    His deep baritone and sheer on stage energy was unlike any other MC in Senegal at that time.

    Before his death, Las recorded a number of hits including "African Don't Wanna Understand", an emotional plea for a return to traditional African values released on African Underground Vol. 1.

    Sadly Las died tragically in a motorcycle accident in 2002. His memory continues both on his own recordings and the countless tributes recorded in his memory him after his passing. "Jaam ak Salaam sama waay




    AKON

    20/06/2006 21:33

    AKON


    Le seul acte de la survie sur une base quotidienne est la base dont un artiste vrai établit son métier. Le nouvel artiste aux compétences diverses AKON n'est aucune exception à cette règle. Son album dynamique de début, TROUBLE, une collection des chansons, reflète créativement les bonnes périodes et les mauvaises périodes de la vie du chanteur/compositeur de chansons/producteur. Un mélange astucieux d'hip-hop soulful, TROUBLE est le tour-de-force vibrant de la première fois d'AKON.


    « TROUBLE a évolué des luttes que je suis intervenues et ce que j'ai fait et faisant toujours pour corriger ces choses, » offre AKON, qui a eu son partie équitable des problèmes adolescents avec le système scolaire et légal, comme est reflété dans sa chanson « Trouble Nobody. » « J'ai une habitude de l'inscription au sujet de tout que j'interviens, » il explique, « et cet album donne un regard d'où je suis maintenant. »


    Comprendre où AKON est en ce moment est juste moitié de l'équation. L'autre moitié se trouve dedans d'où il est venu : ce jeune artiste possède une histoire unique. Un Africain de Senegalese, AKON s'est déplacé aux Etats-Unis quand il avait sept ans. Sa famille est dirigée par le percussionniste légendaire et musicien de jazz Mor Thiam, dont l'expertise pour jouer le Djembe, un tambour africain traditionnel, est « pas de rivalisé. » Étant augmenté dans un environnement qui prise la valeur vrai d'un artiste et revel dans la maîtrise de la compétence instrumentale a fait affecter un important sur AKON.


    C'était l'amour enraciné profond et la passion d'AKON pour la musique, évoluant de l'admiration filiale, qui lui a permise de tourner sa vie autour, en dépit de son ennui comme jeunesse résidant au New Jersey. AKON a commencé à jouer plusieurs différents instruments de percussion et a par la suite embrassé la musique et la culture d'hip-hop, en dépit de son dédain initial pour le genre. « quand j'ai entendu la première fois que l'hip-hop j'ai pensé que c'était des déchets parce que je n'ai pas compris le concept des personnes parlant au-dessus de la musique, » des rappels d'AKON, « mais car j'ai commencé à grandir, vie et écouter le lyrique, je me suis rendu compte que je passais par beaucoup de substance que ces rappers parlaient et je pourrais rapporter. »


    Une fois que l'hip-hop assurait sa vie, le développement musical d'AKON a éclaté et il a commencé à diriger son énergie dans l'écriture et à produire sa propre musique. Chansons telles que « Show Out » de l'affichage combien d'hip-hop l'a influencé. Au-dessus de la « groove » dure frappante, « ne tentez pas me/'Parce que je suis près de le bord/je suis essayant de ne pas perdre ma tête, » sonnent le lyrique qui intègre abilement le lyrique « old school ». En même temps, la chanson donne l'hommage aux pionniers d'hip-hop d'hommage, tout en maintenant sa propre identité.


    En attendant, son premier simple « Bananza (Belly Dance) » montre un autre côté de l'artiste. Sur cette chanson AKON met en avant un sentir-bon vibe. Chantant au-dessus d'un battement seductive et sensual, « Bananza (Belly Dance), » est l'une des chansons les plus irrésistibles d'AKON. La chanson intègre un battement haut unique de danse de tempo avec une instrumente de vent distincte flottant dans le fond garanti pour améliorer l'humeur de chaque auditeur. La raison de ceci, AKON indique, « il y a beaucoup de choses négatives allant aujourd'hui. » « nous avons besoin de partie et avons juste l'amusement, » il continue, « Bananza...' est un disque de partie. Vous juste entrez dans le club, partie et appréciez ces belles femmes. »


    Cependant, la vie ne tourne pas seulement autour de belles femmes et le temps libre et l'AKON se rend bien compte de ceci. Sur le somber, le « Ghetto » et le méditatif et impressionnant, « Journey» AKON donne à des auditeurs un regard détaillé à un monde plus dur, un qui est comme passionnant juste qu'il fait froid. Mais plutôt que sensationalize son propre drame, AKON communique, à ses assistances, le sentiment d'être une partie de son cercle intérieur.


    L'appel et la capacité personnels d'AKON d'atteindre un auditeur est une partie de son paquet entier : un paquet qui inclut, d'une manière primordiale, ses vocals distinctifs et un modèle détendu de chant. Il est comme s'il vous parle pendant qu'il chante d'une façon très intime. « quand je chante le bruit vient de l'humeur que je suis dedans. Ces disques viennent directement du coeur, » AKON divulgue.


    Véritable et honnête, la musique d'AKON est une étape dans une nouvelle direction : une trajectoire qui nous mènera sur un chemin accomplissant délicieusement. Dit AKON, « quand je suis sur le mic, je suis juste donnant à l'auditeur par partie de moi. » Soyez préparé pour le recevoir




    sista FA

    20/06/2006 21:31

    sista FA


    Si se faire une place dans le milieu hip hop sénégalais n'est pas de tout repos, cela s'avère deux fois plus difficile, lorsqu'on est une femme ! Cette place, Fatou Mandiang Diatta alias Sister Fa l'a gagnée à la sueur de son front, de par son originalité, de par sa force de caractère et de par la positivité des messages qu'elle véhicule !
    C'est dans sa Casamance natale que Sister Fa découvre le Hip hop! Tout vient en fait de sa passion viscérale pour la musique. A chaque sortie de classe, elle allait suivre les répétitions des groupes de rap casamançais tout en ayant un oeil très attentif sur les groupes de Dakar comme les Pee Froiss et bien sur ceux de l'hexagone, ce tout en taquinant petit à petit le micro. Elle enregistre quelques petites maquettes en se disant que cela pourrait lui servir un jour. Et c'est en classe de première secondaire que le centre culturel Blaise Senghor lui offre l'opportunité de se faire connaître. Elle est sélectionnée pour le Festival « Rythmes et Mélodies » en 2001. Tous les grands du hip hop local l'adoptent. Ils iront même jusqu'à faire des témoignages élogieux en sa faveur dans un film documentaire qu'une maison de production audiovisuelle française « Morgan Production » a fait sur sa vie dans le milieu hip hop au Sénégal.

    L'année suivante, elle est invitée à représenter le Sénégal au festival international de hip hop féminin à Conakry. A partir de là, tout s'enchaîne pour Sister Fa ! Elle est associée à tous les grands évènements du hip hop. De compilations au festival Senerap, en passant par les plus grands festivals panafricains de rap, Sister Fa appelle à l'unité du mouvement hip hop, s'unir pour l'unité du Sénégal. Elle croit en la force de l'union, qui pour elle permettra de restructurer le rap sénégalais. Elle a intégré le label FnF « Fight 'n Forget », qui va produire son premier album dont la sortie est prévue au mois de juillet 2005. La politique, sa biographie, le social, l'humour et un vibrant hommage aux militaires seront les thèmes de son album.

    Aujourd'hui, il est incontesté que Sister Fa fait partie des grosses pointures du mouvement hip hop sénégalais. A elle seule, elle est la porte-parole des femmes, peut représenter ce même mouvement rap, mais aussi toute une jeunesse sénégalaise en manque d'initiative et d'inspiration. Ca Kaw ! Ca Kanam ! (en haut et toujours en avant !)

    Biographie

    2001 : Participation au festival « Rythmes et Mélodies » au centre culturel Blaise Senghor. Sortie du film « La vie de Sister Fa dans le mouvement hip hop au Sénégal » réalisé par Morgan Production.
    2002 : Représente le Sénégal au Festival International de Rap Féminin de Conakry (Guinée)
    2003 : Participe à deux compilations « Art et City » et
    « Hommage à Lass MC » et au Sénérap
    2004 : Signe pour le label FnF et enregistre en studio son premier album.
    Juillet 2005 : Sortie de son premier album « Hip-hop bi fallnala »






    RESKP

    20/06/2006 21:28

    RESKP


    Biographie RESKP

    Les parcelles assainies font parties des premiers quartiers qui furent infectés par le virus du HIP-HOP au Sénégal, ce fut d'abord par le DANCE et quelques années plus tard le rap s'installe et inonde le territoire. Parmi les crews (groupes) qui furent les premiers à se former « NINGKY NANGKA» en faisait partie avec au départ BALLA – ZAP- DOC et MO en 1995.

    En 1997 ce fut le départ de MO et l'arrivée du cadet LAMZO qui apporte des couleurs mélodiques au style hard que le groupe avait adopté.

    Basé à l'unité 10 le groupe continu son parcours, d'ailleurs il remporte le 1 er championnat national de RAP (play-back) au « Bidew Bi Night » de Pikine qui s'est tenu du 24 janvier au 25 avril 1999.

    Ils ont aussi participé à plusieurs manifestations HIP-HOP à Dakar et dans quelques régions ( Saint-Louis, Thiès...).

    C'est en 2000 que le groupe a commencé à noter des départs notamment avec BALLA pour des raisons de voyage suivi de DOC pour des raisons d'engagement.

    ZAP et LAMZO continuèrent leur aventure et eurent à participer au titre « article 294 » de l'album de CBV : « ORKLASS », tout juste après ce fut le Départ de ZAP et la fin du parcours de « NINGKY NANGKA ».

    LAMZO seul dans l'arène décide de forcer les portes mais sous le pseudonyme de RESKP (lire rescapé) ce qui nous laisse facilement deviner l'origine de son nom.

    Le 30 août 2002 RESKP (rescapé) sort son 1 er single «3 ième Compartiment» et laisse remarquer une nette évolution coté lyrical (texte) et coté flow.

    RESKP a pour philosophie de servir de boussole à sa génération et pour éviter toute prétention il dit «certes pas des saints mais devant le mic tu verras le vrai dessein», RESKP s'affirme et adopte un style posé qui colle à la musique avec une haute technicité.

    RESKP prend les devants et commence à se faire un nom, d'abord en participant dans l'album de Djoly Bou Alto, ensuite dans la Kompil « Tous Rappons Le Sida » produite par le label optimiste production et d'ailleurs tenez vous bien, son tube dans cette compil lui a valu le titre de découverte au hip hop awards 2003 ; son trophée lui a été remis le samedi 17 Décembre 2003 par le représentant du ministre de la Jeunesse au CICES.

    RESKP a eu a intégrer le « FNF » (Fight'N Forget) de BOB Denard , il a eu aussi à partager beaucoup de scène avec GOUGOU du groupe CBV, sans oublier la 3 ième place lors du concours « REPRESENT » organisé par CRAVEN avec 100 groupes au Départ ;

    N'oublions pas aussi que RESKP est sorti 2 ième à l'émission de RAP « HIP HOP FEELINGS » présenté par FATA sur la 2STV (ex RSTS2S)

    Et qu'il prépare la sortie de son Premiers Album.






    Début | Page précédente | 1 2 3 4 5 6 7 8 | Page suivante | Fin
    [ Annuaire | VIP-Site | Charte | Admin | Contact aa972 ]

    © VIP Blog - Signaler un abus